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L'arrivée du printemps entraîne avec elle un lot de désagréments gardés par dame Nature. Parmi eux, les chenilles processionnaires, menaçantes pour la santé des humains et pour l'écosystème.

"Les chenilles processionnaires sont particulièrement envahissantes et urticantes.

Le déplacement de ces colonies de chenilles au printemps du pin vers le sol est source de défloraison des arbres attaqués et d'irritations pouvant se transformer en réactions allergiques graves chez les hommes et les animaux La chenille processionnaire du Pin est une espèce susceptible d’émettre des agents pathogènes à l’origine de réactions cutanées, oculaires et internes par contact direct ou aéroporté. Ces manifestations cliniques peuvent s’avérer importantes et s’accompagner de complications graves. Les chenilles processionnaires nichent préférentiellement dans les Pins mais également le Cèdre et le Cyprès voire d’autres essences de résineux situés à proximité.

Les dégâts occasionnés par l’attaque parasitaire des chenilles processionnaires entraînent à plus ou moins brève échéance la mort de l’arbre. Il y a lieu, par conséquent, de prescrire des mesures de police de nature à préserver la santé publique et la protection des végétaux environnants. Si l’on peut traiter certains arbres infestés par ces chenilles, d’autres en revanche, de par leur proximité des établissements recevant du public, et/ou sur le passage de ce même public, particulièrement des enfants ne peuvent être préservés.

C’est dans ce contexte qu’Il a fallu se résoudre à abattre le pin qui trônait majestueusement depuis de nombreuses années devant l’entrée de la mairie. La gestion de cette problématique par les pouvoirs publics s’avère un exercice périlleux. En effet, d’une part les décisions d’abattage déchaînent les passions et rappellent l’attachement des citoyens à leurs arbres. D’autre part, ces derniers peuvent se révéler dangereux.  Les communes sont donc confrontées au conflit de la protection du cadre de vie et de leur obligation d’assurer la sécurité des citoyens.
 
S. SECHET